“Je ne pouvais plus m’en passer” : promesses d’habitués de la voyance à peu important niveau de prix
J’ai rencontré Claire, 48 ans, qui a hébergé de me citer son consultation au téléphone. Après un divorce douloureux, elle a commencé à procurer une plateforme discount “par curiosité”. Puis n'importe quel soir. Pendant six mois. Plus de 700 euros dépensés. Elle me formulé avec sagesse : “Je savais que c’était bidon parfois, mais j’avais la nécessité d’entendre que ça allait s’arranger. ” Le plus poinçonnant dans son récit, ce n’est pas le montant, mais le vacarme à proximité. Aucun en accord ne savait. C’était son refuge sobre. Un marotte nocturne qui l’aidait à résister. Elle n’est pas un cas délaissé. J’ai croisé d’autres profils similaires, qui n’auraient jamais franchi la porte d’un cabinet, mais qui, en arrière un téléphone, se laissent chercher. La voyance discount est valide car elle est cachée, immédiate, et apparemment sans conséquences. Mais coccyxes cet anonymat se cachent des intrigues de détresse respectable, parfois ignorées. Mon recherche ne cherche pas à diaboliser. Je comprends le besoin d’écoute. Mais à force de monétiser l’attention de l'homme, on banalise un modèle de examen. Ce que j’ai vu dans ce plan, cela vient une marchandisation de l’intime, déguisée en concours de voyance. À bas coût, certes. Mais à quel niveau de prix, en outre ?
Ce qui m’a le plus ébahi, cela vient la structuration de l’offre. Contrairement à ce que l’on croit, le marché de la voyance discount n’est pas anarchique. Il obéit à des logiques de communication précises, avec des segments bien définis : les voyances de 5 minutes pour “voir si ça vaut le coup”, les offres de fidélisation, les formules personnalisées… Certaines grosses enteprises vont jusqu’à offrir des abonnements mensuels ou des alarmes sur-mesure pour “savoir quand consulter”. ce n’est pas de de manière constructive trop la voyance, on a un article d’appel, au sens voyance olivier contraignant. Et les entreprises l’ont correctement compris. Le profil modèle du consommateur est scruté à la loupe : âge, comportement de consommation, fréquence de connexion… Les algorithmes pensent des ventes en faisant référence à le chic sentimental de l’utilisateur. ce n’est pas un fatum si arcanes arrivent souvent le dimanche soir, quand la solitude est plus en vente. Ou en subtil de mois, quand l'anxiété financières rendent les coûts discount attractifs. Derrière la façade généreux, la tactique commerciale est d’une vitalité redoutable. On vend de l’espoir, en petits morceaux, sans malmener, mais sans jamais indiscutablement transporter saillir l’usager. Enfin, j’ai tenté d’évaluer la impression des hôtes vis-à-vis de ces prestations à seul prix. J’ai diffusé un questionnaire sur une multitude de forums en ligne consacrés à l’ésotérisme. Une commun des répondants affirme l'obtention testé la voyance discount “par curiosité” ou “faute de mieux”. Les avis sont opposés. Certains s’en expriment honorés, insistant sur la disponibilité, la rapidité, le bas niveau de prix. D’autres dénoncent une approche “usine”, sans chaleur ni précision. Mais une variable revient généralement : la test de accroitre les consultations. “C’est pas cher, dans ce cas on y retourne. ” Une entendement de micro-paiements répétitifs, ennuyeux à maîtriser. Ce trésor d’accoutumance n’est pas anodin. Il transforme une vision personnelle en comportement de consommation compulsive. Ce n’est plus la cosmopolitisme de sens qui guide, mais le besoin de combler un vide, de manière quasi mécanique. La voyance discount, en cela, a une action à savoir d’autres services numériques à peu important coût : elle exploite une faille cérébrale, sans jamais la réparer. Ce que j’en retiens ? Un reflet de notre entreprise. On espère des réponses aujourd'hui, sans déception, sans placement, à moindre prix. Mais peut-on précisément saisir la précision réfléchie pour 0, 50€/minute ?